Bonjour, véronique

A mon avis, il y a eu deux types de pillards : ceux qui ont délibérément utilisé le prétexte de la mort de Nahel pour mettre sur pied des saccages de boutiques commercialisant des objets de valeur, et ceux qui ont agi par impulsion dans le mouvement pour tire profit de la confusion, souvent en faisant main basse sur « des biens de consommation ordinaires », comme vous le soulignez.

« du côté des pouvoirs publics, tant qu’ils sont dirigés par ceux-,là mêmes qui plongent la société dans cette violence, on ne peut rien en attendre »
Cela fait des décennies que cela dure, et le fait est que la politique conduite consiste le plus souvent à « faire le gros dos » en attendant que cela passe. Avec le risque que la fois suivante, une nouvelle marche soit gravie sur l’échelle des violences. Macron est-il capable de comprendre cela ? J’en doute.