Commentaire de Fergus
sur Fin de vie : les axes de l'action gouvernementale
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@ Aristide
Assez d’accord avec vous sur le principe d’une telle évolution. Mais cela n’aurait guère de sens.
Cela reviendrait en effet de facto à remplacer un « suicide assisté » par une euthanasie lente.
Dans le premier cas, c’est le malade qui provoque l’injection mortelle ou boit le cocktail létal.
Dans le deuxième cas, le processus est piloté et mis en oeuvre par des médecins.
Au plan de l’éthique médicale et du rapport au serment d’Hippocrate, j’ai du mal à vous suivre...